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Protection de l'estuaire et Grand-Lieu : l'eau, une "entrée essentielle"

  • Photo du rédacteur: Chloé Giradot-Moitié
    Chloé Giradot-Moitié
  • 11 déc. 2023
  • 1 min de lecture

Revue de Presse - Presse Océan - Publié le 11 décembre 2023


Chloé Girardot-Moitié, vice-présidente du Département de Loire-Atlantique en charge de la biodiversité, juge prématurée d’évoquer la création d’un parc national Estuaire de la Loire-Grand Lieu... - Dominique Bloyet



« Le fait que l’estuaire de la Loire ne soit pas davantage protégé est une anomalie. On pourrait s’attendre à une protection plus forte , juge Chloé Girardot-Moitié, vice-présidente du département de Loire-Atlantique en charge des ressources, milieux naturels, biodiversité et action foncière. Mais l’élue écologiste reconnaît  des difficultés à avancer sur cette question. « Il n’y a pas d’espace de dialogue pour rassembler les acteurs du territoire et discuter, regrette-t-elle. Le sujet n’est pas simple, il ne doit pas pour autant nous empêcher d’avancer  »



Capture d'écran de l'article : « L’eau est une entrée essentielle pour discuter de l’estuaire »  Chloé Girardot-Moitié, vice-présidente du Département de Loire-Atlantique en charge de la biodiversité, juge prématurée d’évoquer la création d’un parc national Estuaire de la Loire-Grand Lieu.  Écouter cet article La gestion partagée de l’estuaire de la Loire n’est pas toujours un long fleuve tranquille. La gestion partagée de l’estuaire de la Loire n’est pas toujours un long fleuve tranquille. | PHOTO ARCHIVES PRESSE OCÉAN-DOMINIQUE BLOYET Presse Océan Dominique BLOYET Publié le 11/12/2023 à 08h00  Newsletter La Matinale Chaque matin, l’actualité du jour sélectionnée par Ouest-France  " Le fait que l’estuaire de la Loire ne soit pas davantage protégé est une anomalie. On pourrait s’attendre à une protection plus forte ", juge Chloé Girardot-Moitié, vice-présidente du département de Loire-Atlantique en charge des ressources, milieux naturels, biodiversité et action foncière. Mais l’élue écologiste reconnaît " des difficultés à avancer sur cette question. Il n’y a pas d’espace de dialogue pour rassembler les acteurs du territoire et discuter", regrette-t-elle. "Le sujet n’est pas simple, il ne doit pas pour autant nous empêcher d’avancer" " »." « L’outil doit être au service d’un projet »  Encore faut-il ne pas se tromper sur la méthode. Et pour l’élue départementale le fait de proposer un parc national avant même d’avoir mené la réflexion équivaut à mettre la charrue avant les bœufs : «" Attention à ne pas poser d’outil avant de savoir ce qu’on veut. L’outil doit être au service d’un projet et non l’inverse ". Ce qui finalement donne du sens à la recommandation de la mission de l’Inspection de l’environnement et du développement durable (Igedd)) d’installer une conférence permanence de l’estuaire.
Presse Océan - extrait de l'article














































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